Quelques notions de physique – Provence Géobio

Physique Cosmo-tellurique

Dès 1903, le prix Nobel de physique Ernest RUTHERFORD, découvre les radiations électromagnétiques ultra pénétrantes appelées « ondes Cosmiques ». Ces rayons se révèlent 100 fois plus pénétrants que les rayons X les plus intenses, mais le rayonnement cosmique ne comprend pas uniquement le rayonnement solaire, il existe aussi un rayonnement de micro-ondes qui a son origine hors de notre système galactique. Ce rayonnement électromagnétique, de très petites longueurs d’ondes, agirait comme un rayonnement de fond de très haute fréquence, largement supérieur au Gigahertz. Il existe également une émission à haute fréquence, en provenance de la voie lactée, de 18 cm de longueur d’onde. Ce résumé d’observations, permet simplement de constater, que le rayonnement cosmique couvre une multiplicité de radiations, présentant un apport d’énergie permanent dont le maximum se situe dans la bande des 70 GHz de fréquence. Les investigations des astrophysiciens démontrent donc que la Terre est baignée dans un champ de radiations qui lui apporte vie et énergie. En plus de ce rayonnement cosmique, il existe un rayonnement d’origine terrestre, appelé rayonnement tellurique. Les méthodes de prospection géophysique ont mis en évidence, que toutes anomalies dans la constitution géologique du sous-sol, peut se traduire par une perturbation localisée des lignes de force, que l’on observe à la surface même du sol. Sur les cours d’eau souterrains, des effets mesurables se manifestent, anomalie du champ magnétique terrestre, augmentation de la charge électrique de l’air et du sol, augmentation de la puissance du champ d’ondes ultra-courtes, freinage du rayonnement infrarouge long, troubles micro-sismiques, mise en évidence de courants telluriques ou courants d’électricité naturelle circulant dans le sol à des profondeurs variables. On attribue ces courants, dans les couches superficielles du sol, aux variations externes du champ magnétique terrestre, sous l’action du système solaire et du noyau interne de la terre. Dans les couches plus profondes, des inductions en provenance du noyau terrestre sont probablement à l’origine des courants telluriques. A quelques mètres, centaines de mètres, ou kilomètres de profondeur, les courants telluriques se déplacent à travers les différentes couches géologiques, selon les voies de moindres résistances électriques, empruntant les chemins les plus conducteurs des couches en présence. A faible profondeur, ces courants telluriques influent localement sur le champ magnétique terrestre externe, et semblent non négligeables dans le maintient ou le développement des processus biologiques. Bien que leur intensité soit faible, ces courants empruntent parfois les voies d’eau, les filons métallifères ou profitent des accidents géologiques, telles que les failles, pour se cumuler à leur rayonnement et s’échapper du sol. Dans ces circonstances, ils peuvent grandement perturber l’équilibre des lieux qu’ils traversent, des habitats, des installations électroniques, du vivant ! Courants telluriques et rayons telluriques sont deux notions souvent confondues dans leurs effets, mais qui sont à différencier. Les observations et recherches géophysiques montrent que les courants telluriques ne varient que faiblement en intensité, on ne peut pas parler de fréquence puisqu’il ne s’agit pas d’un phénomène oscillatoire, qui caractérise par contre le rayonnement tellurique.

L’effet composé des rayonnements cosmiques et telluriques provoque des résonances et interférences, de la surface du sol jusqu’aux couches plus élevées de l’atmosphère. Ces interférences constituent un champ résultant, qui pénètre tout, de façon plus ou moins actif, plantes, animaux et humains, et la molécule d’eau serait le résonateur du champ produit par ces interférences.

Les courants d’eau souterrains, dotés de propriétés électrochimiques, provoquent en circulant à travers les sables, graviers et autres failles terrestres, un courant d’électricité mesurable à la surface du sol. Ainsi, sur les cours d’eau souterrains, la formation d’un rayonnement micro-ondes de plus forte intensité qu’alentour, donne naissance à des zones perturbées localement, qui se révèlent nuisibles pour les êtres vivants, voire même agressives, mais en fonction de nombreux paramètres. La mesure des différents potentiels électriques de l’air et du sol, permet d’observer des bandes particulièrement actives à la verticale des rives des cours d’eau souterrains et à l’extérieur de celles-ci (harmoniques). La plus ou moins forte activité du potentiel électrique de ces bandes, dépend de la profondeur du cours d’eau, de sa vitesse et de sa résistivité. Dans l’ensemble, nombreux sont les troubles observés par constats médicaux, dans les habitations construites au dessus de cours d’eau, cependant tous les cours d’eau ne sont pas pathogènes.

Quelques notions de physique – Provence Géobio

Mieux comprendre les ondes électromagnétiques

Laissez-nous un message, contactez-nous !

Besoin d'un devis, de plus d'informations, vous souhaitez nous rencontrer ?

N'hésitez pas à nous contacter pour une analyse géobiologique de votre habitat.
Expertises géobiologiques dans le Var (83) et sur toute la Provence dans les départements 06, 13, 04

© PROVENCE GÉOBIOLOGIE DANS LE VAR ET EN PROVENCE 2019